13 avril 2012
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Joyeux anniversaire K-rot !
Après moultes recherches et réflexions sur quelle agence choisir pour l'ascension du Chachani, on se lance finalement avec "Carlos Zarate" (l'une des plus chère...).
Nous avons rendez-vous avec notre chauffeur à 7h devant notre auberge ; ca commence bien, notre homme est d'une ponctualité exemplaire !
Nous filons à l'agence récupérer le matos (tente, matelas, duvets, chaussures de montagne, crampons et piolets) et notre guide, Jose. Lui aussi nous inspire d'emblée confiance ; ouf !
Nous avons rendez-vous avec notre chauffeur à 7h devant notre auberge ; ca commence bien, notre homme est d'une ponctualité exemplaire !
Nous filons à l'agence récupérer le matos (tente, matelas, duvets, chaussures de montagne, crampons et piolets) et notre guide, Jose. Lui aussi nous inspire d'emblée confiance ; ouf !
C'est parti pour 3h de Jeep, direction le départ de la rando. La route est absolument chaotique, mais heureusement, notre pilote n'est pas trop brusque.
On ne peut tout-de-même s'empêcher d'avoir mal pour la voiture...
A 10h30, il nous dépose tous les trois à 4900m ; nous nous équipons comme des mules et entamons notre première journée d'ascension jusqu'au camp de base situé à 5200m.
Le temps est très voilé, mais plus nous montons, plus nous dépassons les nuages et la vue se dégage nous offrant de beaux panoramas montagneux et volcaniques.
Jose a le rythme idéal pour l'acclimatation ; nous lui emboîtons le pas pour ne pas se mettre dans le rouge et avancons ainsi tranquillement jusqu'au camp.
Vers 12h30, nous y sommes ; il nous montre le chemin que l'on empruntera demain :
Vers 12h30, nous y sommes ; il nous montre le chemin que l'on empruntera demain :
D'en bas, le sommet n'est pas visible.
Nous installons nos tentes et enchaînons avec une petite sieste d'une heure ; nous sommes réveillés par un groupe de trois personnes plus un guide. Eux aussi prévoient de faire l'ascension demain, mais la jeune femme avec eux n'a pas l'air très acclimatée...
Vers 15h30, Jose commence à préparer le dîner. Et oui, c'est tôt, mais demain le réveille sonnera à minuit et demi !
Et dire qu'il y en a qui se couchent à peine à cette heure-ci...
Bref, au menu, soupe chinoise en entrée et spaguettis sauce tomate en "plat de résistance" (si bien nommé). Ca semble peu, mais c'est nécessaire pour éviter les problèmes de digestion car à ces altitudes, c'est une fonction que le corps met un peu de côté... Oubliez donc les repas trop gras, style raclette ou fondue ! Oui, c'est dommage :)
Bref, au menu, soupe chinoise en entrée et spaguettis sauce tomate en "plat de résistance" (si bien nommé). Ca semble peu, mais c'est nécessaire pour éviter les problèmes de digestion car à ces altitudes, c'est une fonction que le corps met un peu de côté... Oubliez donc les repas trop gras, style raclette ou fondue ! Oui, c'est dommage :)
Pendant que ca chauffe, nous profitons de ce que le temps est clément pour nous promener un peu dans les environs ; sans trop en faire bien entendu.
Bien qu'au-delà des 5000m, nous rencontrons encore ces plantes étranges à la croissance infiniment lente (1mm par an !), la yareta. Ce vert éclatant est assez surprenant dans une mer de cailloux !
Bien qu'au-delà des 5000m, nous rencontrons encore ces plantes étranges à la croissance infiniment lente (1mm par an !), la yareta. Ce vert éclatant est assez surprenant dans une mer de cailloux !
Après le repas, nous filons au lit comme des poules ; il est 17h30. Plus que 7h de sommeil... Nous sommes plutôt sereins quant à demain car pas un soupcon de mal de tête ! Bien sur, il ne faut pas se relever trop vite sinon, c'est le tournis assuré.
Mais pour le moment, nous tâchons de mettre à profit les quelques heures de sommeil devant nous.
Mais pour le moment, nous tâchons de mettre à profit les quelques heures de sommeil devant nous.
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